La recherche partenariale féministe : penser plus loin la participation des groupes. L’enjeu de la co-analyse.
Ce Forum porte sur la participation des différentes parties prenantes mobilisées dans la recherche partenariale féministe.La participation, ses facilitateurs, mais aussi les obstacles pouvant freiner l’implication des groupes partenaires seront discutés.
Malgré les avancées des savoirs féministes et leur mise en application dans la recherche-action, la recherche partenariale, participative ou en collaboration, une hiérarchie des savoirs perdurent.
Dans ce contexte, nous vous convions à réfléchir collectivement sur un aspect spécifique et peu abordé jusqu’à aujourd’hui, mais lieu de négociations des rôles et des savoirs dans la recherche : l’enjeu de la co-analyse.
AU PROGRAMME :
Présentation d’une synthèse des résultats de deux recherches : l’une menée auprès de groupes de femmes1 et l’autre avec des chercheures en études féministes2.
Travail de réflexion en atelier puis en grand groupe, pour approfondir et dégager les différents enjeux liés aux conditions de réalisation et à la division du travail de recherche.
Animation
- Lyne Kurtzman, professeure associée, Institut de recherches et d’études féministes, UQAM
- Julie Raby, coordonnatrice de projets, Relais-femmes
Conférencières
- Nathalie Lafranchise, professeure, Département communication sociale et publique, UQAM
- Isabelle Courcy, professeure, Département de sociologie, UQAM
Modalité
- En présentiel (à moins d’avis contraire) – Lieu : UQAM (salle à confirmer)
- À distance (le lien sera envoyé quelques jours avant l’événement)
Pour plus d’informations : relais@relais-femmes.qc.ca.
Téléchargez l’affiche du forum.
1Lafranchise, Lacharité, Brabant, Vanier, Hébert, Gagné, Paquet, Maxim (2018) : « Le processus de recherche par, pour et avec les groupes de femmes », Rapport de recherche. Document inédit.
2Courcy, Kurtzman, Lacharité, Pelletier-Landry, Côté, Lafranchise (2019) : « La recherche partenariale féministe : des rapports égalitaires sous tension », Recherches féministes, vol. 32, no 2, Université Laval, Québec : 297-317
